Mon fils se réveille toutes les nuits et me réveille aussi, je ne dors plus. Et pendant la journée il est toujours excité parce qu’il ne dort pas suffisamment. Il a peur d’aller se coucher, il met du temps à s’endormir, s’angoisse. Il fait des cauchemars qui perturbent son sommeil. Il ressent de l’anxiété pour aller se coucher et pleure beaucoup.

Un bon sommeil est lié à l’équilibre global et un enfant qui fait des cauchemars se met en grande difficulté pour maintenir son attention dans la journée, pour son immunité, sa croissance etc.

Pourquoi les cauchemars?

Il existe une multitude de raisons qui peuvent expliquer les cauchemars et parfois ils sont une manifestation vraiment cachée d’une émotion, d’un instant, d’un ressenti, d’un mal-être face à une situation. Alors connaître et aller chercher l’origine des cauchemars, des pleurs ne permettra pas toujours de les résoudre.

Alors quelle attitude avoir ?

Rassurer l’enfant qui fait des cauchemars n’est pas toujours suffisant et parfois même peut aggraver la situation si le parent nie les monstres et les fantômes qui se présentent en lui disant : “Mais ça n’existe pas, regarde bien autour de ton lit, il n’y en a pas.”

Il est nécessaire au contraire d’aller dans le sens de l’enfant. Et de rentrer dans son monde afin de comprendre qui est ce monstre qui vient la nuit. Petit à petit, en extériorisant et en matérialisant le monstre à l’aide d’un dessin, d’objets, de symboles, alors l’enfant va changer de perception et voir ce monstre d’une autre façon. En même temps il se sent protégé et soutenu par son parent qui rentre dans son monde ce qui est nécessaire pour grandir

Fini les cauchemars

Une fois la communication bien établie et le monstre bien cerné, l’enfant, aidé de l’adulte, peut lui parler, lui demander ce qu’il veut. Peut être a t il faim ? ou veut il se réchauffer? Ce principe sert à dégonfler le côté effrayant. Le monstre est un être qui souffre, comme l’enfant. Il a des besoins.

Alors commence un jeu pour trouver des astuces qui vont satisfaire le monstre afin qu’il laisse l’enfant pendant la nuit. On peut aussi ajouter des protecteurs, des alliés qui vont protéger l’enfant pendant son sommeil. Cette phase importante est à faire par l’enfant afin qu’il retrouve son autonomie… et un sommeil réparateur

J’utilise des techniques de thérapies brèves, l’hypnose, la PNL qui peuvent aider l’enfant (et ses parents) à retrouver un sommeil réparateur, sans cauchemar. Antibes, Cagnes sur mer, Nice, Vence.

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