Depuis quelques temps je ressens un mal-être, de la lourdeur. Et pourtant il y a des choses qui vont bien dans ma vie. Je peux me mettre en colère pour un rien, je dors mal et surtout je ne sais pas prendre du plaisir. Ce n’est pas une dépression, mais j’ai envie de rien et je ne sais pas où je vais. Quel est le sens de mon existence?

Ce genre de questionnement est la porte d’entrée vers un nouvel état d’être. ça peut être inconfortable comme toutes les périodes de transition. Le défi est de vivre cette période le mieux possible. As tu parfois senti dans ton for intérieur que “ça y est” c’est le moment de changer?

Le mal-être peut prendre plusieurs formes

Il arrive des moments où c’est nécessaire de modifier ses comportements et sa façon de penser. Les émotions sont l’indicateur qu’il y a une injustice qui nécessite l’attention. Et cela crée du mal-être.

La colère sous toutes ses formes, du petit agacement à la rage est le signal que je m’oppose à ce qui se déroule.

La peur, de l’inconfort à la phobie alerte qu’il est nécessaire d’éviter quelque chose, tandis que la tristesse qui va de l’isolement jusqu’à la dépression indique le besoin d’un repli sur soi pour passer à autre chose. 

La souffrance se créée et s’amplifie

La souffrance vient du fait que nous préférons, devant une émotion, un ressenti désagréables, monter dans notre tête pour éviter ce moment. Alors nous commençons à nous raconter des histoires. Et ce faisant, croyant aider à atténuer le ressenti momentané, nous créons une histoire qui déporte le problème et peut un jour devenir un problème. Et c’est une couche d’oignon de mal-être qui se crée. 

Ce qui donne l’équation suivante

EVENEMENT PAS TOP => EMOTION et RESSENTIS PAS AGREABLES => SOUFFRANCE 1 => NON ! TROP DUR => DISSOCIATION DANS LA TETE => CREATION D’HISTOIRE POUR ATTENUER EN PARTIE =>=>=> SOUFFRANCE 2 etc.

Stop au mal être

Traverser son émotion, son ressenti ne peut se faire qu’en disant oui à ce qui se présente. Et même si c’est désagréable. Ca ne veut pas dire être d’accord avec ce qui se présente, mais au contraire vivre pleinement ce qui est là, et écouter ses indicateurs. Certaines techniques corporelles accompagnent à vivre mieux cet inconfort et peu à peu, le pic désagréable s’émousse.

Il est possible d’accélérer le processus en mettant l’accent sur ce qui va. Les 3 questions à se poser pour transformer le mal-être en être-bien, selon Luc Isabaert:

  • Qu’ai je fais de tout petit aujourd’hui dont je peux être content ? 
  • Qu’ai je vu, entendu, ressenti dans mon corps, senti, goûté qui m’a fait plaisir ?
  • Qui m’a fait plaisir et qu’est ce que je fais pour que cela recommence?

J’utilise des thérapies brèves, l’hypnose, la PNL qui aident à traverser les périodes difficiles et retrouver un mieux être. Antibes, Cagnes sur mer, Nice, Vence.

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